Au début de son cursus académique, tout enfant doit apprendre à lire et à écrire. Avec l’évolution du temps, le constat est que vos enfants produisent du contenu textuel émaillé de fautes. Pour éviter cela, la dictée accompagnée est un véritable atout. Lisez donc à travers les lignes de cet article ce que pourrait être une dictée accompagnée et son utilité dans la vie de l’élève.
Qu’est-ce que la dictée accompagnée ?
Encore appelée dictée préparée, la dictée accompagnée est un exercice pédagogique proposé à tout élève du niveau CM1 au minimum. Cet exercice consiste à présenter d’avance à l’élève un texte sur lequel il aura à travailler. Il s’amusera à voir les structures grammaticales et les tournures orthographiques afin qu’en l’absence de ce texte, il puisse passer à une réécriture sans fautes.
Cet exercice de réécriture (dictée) est un processus par lequel l’élève se débarrasse du texte qu’il aurait déjà lu à l’avance. Après s’être débarrassé du texte, l’enseignant entre en possession de ce dernier et commence par le lire avec le respect strict de toutes les ponctuations. Quitte à l’élève, d’écouter ce que son enseignant lui dit pour écrire avec exactitude ce qu’il entend. D’ailleurs, ce n’est rien d’autre que ce qu’il avait pris le temps de préparer à l’avance sur ce site.
Retenez que cet exercice ne consiste pas à bûcher le texte à l’avance. Il suffira juste à l’élève d’identifier et de localiser les difficultés qu’il pourrait rencontrer lors de la séance de réécriture, de dictée. Apprendre par cœur ne vous avantage en rien. Vous surchargez votre mémoire inutilement et vous risquez de commettre toujours les mêmes erreurs.
Quel est l’intérêt de la dictée accompagnée ?
La dictée est un exercice pédagogique qui permet à l’élève de mettre en avant ses capacités intellectuelles afin d’être confiant et autonome pour produire des textes sans fautes. Avec cet exercice l’élève connaîtra son niveau de progression ou de régression intellectuelle. Cet exercice doit lui permettre d’écrire des textes sans fautes d’orthographe, de grammaire ou encore de conjugaison.
Ces textes doivent être du niveau de l’élève évalué. Il ne sert à rien de mettre à la disposition d’un élève de CM1, un contenu textuel de la classe de 6ᵉ. Ce sera peine perdue.